Ca ne fait pas mal d'aimer
Non. Quoi qu'on en dise.
Le sentiment qu'on éprouve lorsque l'on aime quelqu'un ne fait pas mal. Il réchauffe le coeur, donne le sourire et fait rêver.
"Tu es avec quelqu'un que tu aimes et qui t'aime réciproquement" me diront ceux et celles qui ne me connaissent pas.
Que nenni.
Lui et moi ne sommes plus ensemble. Ses sentiments ont hélas changé. Les miens demeurent toujours aussi forts.
Et pour revenir à ce que je disais, ce n'est pas aimer qui fait mal. C'est de réfléchir. C'est le cerveau le traître du coeur. C'est lui qui tire une petite sonnette à l'orée du coeur. Lui qui prend un malin plaisir à dire "Ohé, ça n'est pas réciproque". Sans ce cerveau ou esprit, utilisez le terme qu'il vous plaira, aimer ne ferait pas mal.
Penser à lui me rend heureuse. Être à ses côtés me rend heureuse. Pouvoir le serrer contre moi me rend heureuse.
Mais mon cerveau qui dit "Il n'est plus tien"... C'est le cerveau le traître. Pas le coeur.
Le coeur apaise mais le cerveau blesse.
Est-ce que ça peut marcher dans l'autre sens...?
Pas tant que la situation n'est pas réciproque il me semble...
Un jour j'ai lu quelque part "Hate is easy. Love takes courage."
Pour les non anglophones: "Il est facile d'haïr mais aimer demande du courage."
C'est si vrai.
Et je suis si courageuse...
Le sentiment qu'on éprouve lorsque l'on aime quelqu'un ne fait pas mal. Il réchauffe le coeur, donne le sourire et fait rêver.
"Tu es avec quelqu'un que tu aimes et qui t'aime réciproquement" me diront ceux et celles qui ne me connaissent pas.
Que nenni.
Lui et moi ne sommes plus ensemble. Ses sentiments ont hélas changé. Les miens demeurent toujours aussi forts.
Et pour revenir à ce que je disais, ce n'est pas aimer qui fait mal. C'est de réfléchir. C'est le cerveau le traître du coeur. C'est lui qui tire une petite sonnette à l'orée du coeur. Lui qui prend un malin plaisir à dire "Ohé, ça n'est pas réciproque". Sans ce cerveau ou esprit, utilisez le terme qu'il vous plaira, aimer ne ferait pas mal.
Penser à lui me rend heureuse. Être à ses côtés me rend heureuse. Pouvoir le serrer contre moi me rend heureuse.
Mais mon cerveau qui dit "Il n'est plus tien"... C'est le cerveau le traître. Pas le coeur.
Le coeur apaise mais le cerveau blesse.
Est-ce que ça peut marcher dans l'autre sens...?
Pas tant que la situation n'est pas réciproque il me semble...
Un jour j'ai lu quelque part "Hate is easy. Love takes courage."
Pour les non anglophones: "Il est facile d'haïr mais aimer demande du courage."
C'est si vrai.
Et je suis si courageuse...